Revendiquer l’extra-ordinaire

Les concepts-buildings
Jouer sur les trois métiers : architecture, design, et paysage nous permet de concevoir des lieux singuliers, non conventionnels et supports d’émotions universelles qui, au-delà du simple « effet façade » ou de la réussite d’un aménagement intérieur, participent à redéfinir l’image de marque d’un bâtiment et de ceux qui l’occupent. Nos bâtiments deviennent des « Concept-Buildings », des lieux de destinations chargés d’émotions, de surprises et de sensations, appropriables par tous. Nos compétences croisées nous permettent de proposer cette prestation globale à nos clients et de leur offrir le confort d’un interlocuteur unique au service d’une vision unitaire.

Composer des paysages
Dans le contexte de densification des métropoles, notre « besoin de nature » s’exprime notamment par l’attente d’une plus grande porosité entre un intérieur codifié et des extérieurs appropriables. Ces expériences de nature, les découvertes visuelles et olfactives, l’apport de la couleur par le jeu des saisons, la biodiversité qui s’installe et chahute les jardins sont autant d’expériences individuelles nécessaires à nos équilibres humains. Les jardins et les paysages prennent une place déterminante dans notre architecture. Nous en assurons, avec le concours de techniciens horticoles, la conception comme une continuité évidente des ambiances, des textures et des lumières que nous mettons en scène dans nos bâtiments.

Urbanisme : Construire les métropoles
L’espace public est fondateur de la vie démocratique, de l’appropriation collective, de la mixité d’usages comme de la mixité sociale. En ce sens il est porteur d’un « message » politique, de valeurs humanistes et de qualités fonctionnelles. À partir de l’inventaire raisonné d’un site, de l’analyse de ses lignes de traverses et de ses lieux de partages, nous concevons des plans d’urbanisme qui respectent la juste échelle et la cohérence d’un territoire, qualifient les espaces interstitiels, redonnent sa place à la nature, organisent la mixité, et in fine réconcilient ville et urbanité

Penser le logement autrement

Le logement est une encyclopédie des émotions humaines. Notre vision du logement est fondée sur le respect de la diversité des pratiques individuelles et sur une ambition : pour répondre à l’insupportable pénurie de logements dont souffre notre métropole, faire vite, autrement, grand, moins cher, plus lumineux, plus intime et plus ouvert. 500 000 logements par an c’est maintenant : profitons-en pour enrichir une offre de logements, qui, aujourd’hui standardisée, ne répond que partiellement aux demandes actuelles. Croisons, hybridons, partageons, réinventons !

Vivre au collectif
Dans « logement collectif », il y a… collectif. La raréfaction du foncier en centre-ville et le respect des éco-systèmes appellent à une réflexion collective sur la juste densité. Vivre au collectif est une nécessité à laquelle nous apportons une qualité spatiale, un visage humain et des ambitions environnementales. Diversifier les échelles et les parcours, déstandardiser l’offre, développer des intériorités autant que des possibilités de rencontre favorisent l’émergence d’un habitat collectif, urbain, appropriable, propice aux épanouissements individuels et aux tissages de relations humaines.

L’habitat dans sa diversité
La production actuelle de logements ne correspond plus à la diversité des modes de vie. Habitats temporaires, logements multigénérationnels, colocations, résidences pour chercheurs ou adultes déplacés, résidences médicalisées, etc. sont aujourd’hui insuffisants. Développer cette offre sera le révélateur d’une métropole en mouvement, performante et humaine. À l’heure de la mutation économique et sociale, de l’effacement des frontières entre sphères personnelle et professionnelle, et de la révolution des modes de communication et de déplacement, il est urgent d’inventer des lieux de vie favorisant la mobilité ponctuelle ou régulière, la mixité travail-logement et le partage des usages.

Donner ses lettres de noblesse au logement étudiant
Fondé sur une nécessité de mobilité et des partages, le logement pour étudiants est un laboratoire de nouvelles formes d’habiter. Seule l’innovation dans les cellules de vie, la réflexion sur leurs assemblages, sur les espaces partagés, intérieurs et extérieurs, garantiront la pérennité de ces logements qui sont à considérer comme une forme d’habitat à part entière. Car le logement étudiant, c’est d’abord du logement. Et ce d’autant que le « moment étudiant » dure longtemps, qu’il invite à la mobilité géographique et numérique et qu’il correspond à une transition. Une période importante de la vie dont le logement doit prendre acte pour ouvrir le champ des possibles.

Transformer des bureaux en logement
La transformation de bureaux en logements n’est pas un simple effet d’aubaine face à la pénurie de logements. L’obsolescence programmée du parc tertiaire et son nécessaire renouveau est une formidable incitation à inscrire leur mutation dans une perspective à long terme d’aménagement du territoire. Ces transformations nécessitent de prendre à bras-le-corps des questions techniques, réglementaires, programmatiques, économiques, fiscales et de transformer ces contraintes en autant d’atouts pour développer une architecture singulière et des usages renouvelés. Comprendre l’ADN d’un bâtiment existant est la condition pour assurer la sortie économique d’une telle ambition. Déstandardiser le logement et aller au-devant d’une offre non satisfaite permettra de concevoir des logements autrement, plus profonds, plus grands, peut-être moins équipés. C’est ainsi que le changement d’affectation s’inscrira dans une vision sociale et urbaine, gage d’un véritable renouvellement métropolitain et porteur d’hybridations.

Promouvoir un certain art de vivre au travail

L’entreprise est un lieu de création de richesse, de recherche, de performance. C’est également un lieu de vie à part entière. Le rôle social croissant de l’entreprise nous invite à aller au-devant des nouvelles demandes exprimées autant que d’explorer les conditions de réussite de l’entreprise. L’épanouissement des usagers est un indicateur clef de la réussite de l’immeuble tertiaire. La connexion à leur territoire et leur adaptation aux évolutions du travail est un atout : leur valeur patrimoniale à long terme autant que leur valeur d’usage en dépendent. Maîtriser les besoins formulés ou intuitifs, la flexibilité des espaces, la hiérarchie des accès, les programmes associés, les coûts d’exploitation, favoriser l’informel, la fluidité des flux, les relations avec les espaces extérieurs, travailler sur la qualité de la lumière est notre conception d’un véritable art de vivre au travail.

Construire une vision positive de l’entreprise
L’immeuble de bureaux est tout à la fois support et emblème de la culture de l’entreprise qui l’occupe. Il doit témoigner de l’attention qu’elle porte à ses employés comme à l’environnement dans lequel elle s’inscrit et qu’elle participe à construire. Nos bâtiments s’ancrent au sein des territoires qui les accueillent dans une relation gagnant/gagnant. Ils développent des univers de travail respectueux de l’humain et témoignent de la place de l’entreprise dans la ville, avec optimisme et créativité.

Une nouvelle vie pour les bâtiments obsolètes
Entre recyclage et patrimoine, restructurer, rénover, réhabiliter, transformer un bâtiment, c’est travailler avec hier pour anticiper demain. C’est aussi rechercher une architecture hybride, moderne et généreuse qui ouvre le bâtiment aux nouvelles dynamiques du travail, mais aussi à l’air, à la lumière, à la ville, à la nature. Démolir un bâtiment obsolète n’est pas une fatalité et, en termes de développement durable, c’est toujours une catastrophe. Partir d’un bâtiment existant pour y installer de nouvelles affectations et de nouveaux usages c’est souvent faire des économies en termes de coût global, et c’est aussi l’occasion de redécouvrir des procédés constructifs d’et ouvrir les champs de l’architecture et de l’émotion.

Entre notre parfaite maîtrise de l’univers tertiaire et notre expertise technique, nos projets de restructurations lourdes composent avec l’ADN des bâtiments. Sans idée préconçue ni recette clef-en-main, les hybridations que nous composons, entre patrimoine ancien et architecture contemporaine, ancrent nos architectures dans une modernité assumée et des usages renouvelés.

Pratiquer la « Bureau Therapy » des immeubles après le départ d’un locataire
Fondée sur une vision multicritère de l’obsolescence des immeubles tertiaires articulant entre eux les objectifs de certification, de performance, d’exploitation et d’usage, la « Bureau Therapy » est une méthode inédite débouchant sur un projet de réhabilitation légère, ultra performante économiquement. Notre objectif : repositionner rapidement, après le départ d’un locataire, l’immeuble sur son marché, de façon compétitive en intervenant de manière chirurgicale. Une seconde vie à coûts adaptés.

Equiper la ville

L’équipement public et l’espace public entretiennent des relations de continuités réciproques. Qu’ils soient culturels, éducatifs, commerciaux ou sociaux, ils participent à forger une appartenance commune et une vision collective de la ville et de la société. Sensibles aux mutations des modes de vivre, de consommer, de se déplacer, ils sont les marqueurs d’une ville  républicaine et généreuse articulant mobilité, proximité et solidarité.

La ville commerçante
Les enjeux actuels du commerce sont ceux de sa juste échelle par rapport à la ville et de l’articulation entre centralités et proximités. Redonner une échelle humaine aux lieux commerçants c’est mixer les programmes, en offrant plus de porosité entre commerce et espace public, en proposant une magie urbaine respectueuse du reste de la Cité. Réconcilier ville et économie marchande, destination de loisirs et destination d’achats, c’est proposer une alternative à l’évolution actuelle des consommateurs qui observent en ville … puis achètent sur Internet.

Industrie et Métropole
La ville devenue métropole ne peut plus rejeter, toujours plus loin, ses besoins d’infrastructures et d’équipements lourds. Loin d’une architecture stigmatisante nous intégrons les besoins industriels des villes comme une composante à part entière de son fonctionnement, de sa régulation, de son identité. Abriter un process, le donner à voir et l’expliquer, dans le cas notamment des usines de traitement des eaux ou des déchets, c’est participer à la sensibilisation des citoyens et offrir à ces équipements un visage serein sur une ville écoresponsable. Nos architectures industrielles, se composent à l’échelle des grands paysages autant que des ancrages locaux. Nos bâtiments déjouent les codes technicistes, ils revendiquent leur place d’équipement des territoires en garantissant leur pérennité architecturale et constructive.

Intermodalités et déplacements
L’intermodalité redéfinie l’échelle des déplacements dans une perspective écoresponsable. Ces nouvelles infrastructures sont devenues des équipements publics à part entière, lieux de mixité d’usage intégrés à la cité. Ils s’affirment comme des lieux d’échange et de mixité où l’on passe du statut d’automobiliste à celui de piéton et d’usager des transports en commun (train, bus, tram). Parkings mutualisés, parkings silo, parkings relais témoignent avec efficacité de la métropolisation des territoires par une architecture assumée et des conforts d’usages réinventés.

Les grands équipements